Un enjeu planétaire : lutter contre l’effet de serre
Le protocole de Kyoto (Japon) est un traité international, ratifié en 1997 par la plupart des grands pays industrialisés (161 pays signataires) à l’exception principalement des Etats-Unis et de la Chine, ayant pour objectif la réduction des émissions de gaz à effet de serre.
Dans le cadre de ce traité, la France s’est engagée, entre autres mesures, à réduire la consommation d’énergie des bâtiments, qui contribuent pour plus du quart à la production des gaz à effet de serre.
Parmi les principales mesures adoptées, le ‘Plan Climat 2004’ spécifiait les objectifs de la réglementation thermique applicable aux constructions neuves :
• Une amélioration de la performance énergétique des constructions neuves d’au moins 15% en 2005, pour atteindre une performance de 40% en 2020.
• Une limitation du recours à la climatisation.
• La maîtrise de la demande en électricité.
• Diminution de 20% des rejets de gaz à effet de serre
Un enjeu social : Maîtriser les coûts et charges des habitations
De tous les secteurs économiques, celui du bâtiment est, en France, le plus gros consommateur d’énergie (42,5% de l’énergie finale totale). Pour un ménage, la facture annuelle de chauffage représente 900 € en moyenne et pèse lourdement sur le pouvoir d’achat.
Les préoccupations actuelles d’économie d’énergie intègrent pleinement cet aspect des choses.
La Réglementation Thermique 2012 (RT 2012) fixe un seuil de consommation énergétique, pour tout bâtiment neuf, à 50 kWh/m² an.
Le but à terme, lors de l’application de la RT 2020, sera de construire des bâtiments à énergie primaire positive, dits BEPOS.
Pour atteindre ces objectifs, les constructeurs doivent faire porter leur efforts sur :
- Une amélioration très importante de la performance des parois.
- Une diminution des pertes par les ponts thermiques.
De ceci découle aussi un enjeu économique important : Encourager les techniques performantes
La Réglementation Thermique 2012 (RT 2012) répond à une stratégie énergétique nationale.
Son but est aussi de contribuer à :
- l’indépendance énergétique nationale ;
- favoriser la recherche et la compétitivité des produits français sur le marché intérieur et à l’exportation.
La solution pour répondre à toutes ces exigences : les procédés d’isolation thermique par l’extérieur I.THERM.EX